Lady M
06-06-2008, 04:39 PM
Basket - Pro A - Play-offs - Nancy revient à Bercy
Essaye encore... Nancy participera à la finale du Championnat de France, le 15 juin à Bercy, avec l'ambition de remporter enfin un trophée qui lui a toujours échappé. Le SLUC a obtenu son billet en battant l'ASVEL (104-89) lors de la belle, vendredi à domicile, à l'issue d'un match une nouvelle fois renversant. Au POPB, Ricardo Greer (30 points) et ses coéquipiers affronteront le vainqueur de l'autre match d'appui entre Le Mans et Roanne, samedi dans la Sarthe. Les Lorrains auront forcément un faible pour une victoire du MSB, qui les qualifierait dès ce week-end pour l'Euroligue.
Bien malin pourtant est celui qui aurait pu prévoir, à la vue de la première mi-temps, que Nancy s'imposerait avec une avance aussi vaste. Il a fallu un immence Ricardo Greer, qui n'avait jamais marqué autant de points en Pro A, pour maintenir à flots le SLUC alors que l'ASVEL avait tout rentré ou presque (7/11 à 3 points 12 points de Sangaré) dans le premier quart-temps (32-23). Le véritable réveil des Nancéiens a été initié par TJ Parker. Sous les yeux de la famille (Tony, Eva Longoria, les parents, le petit frère Pierre, joueur d'Aix-Maurienne), l'arrière remplaçant a réussi deux tirs à trois points de suite pour revenir à quatre points avant la mi-temps (44-48, 20e).
«On était un peu à la rue, il fallait les mettre», a concédé TJ sur Sport+, alors que TP reconnaissait qu'en «première mi-temps, ils étaient chauds l'ASVEL.» Au retour des vestiaires, la chaleur était nancéienne, avec un premier passage en tête à la 23e minute (55-53). Les Villeurbannais manquaient d'agressivité (7 lancers tentés au total) et de précision (7 balles perdues en 10 minutes). «Il fallait montrer de la fierté», a expliqué l'aîné des Greer, l'écart montant à +10 (72-62) cinq minutes plus tard. Il semblait alors inéluctable que les Verts n'offriraient pas un match de plus au coach partant Yves Baratet. A +16 à la 34e minute (87-71), la messe était dite et Jean-Luc Monschau pouvait lâcher ses premières larmes. «On ne viendra pas à Bercy que pour jouer. On gagnera, nous sommes une famille», s'est écrié Ricardo Greer. Lui a déjà connu le titre national à Bercy, avec Strasbourg en 2005. Cela suffira-t-il ? X.C.
Tony was tonight in my birth city to see his brother TJ qualify with his team for the finals of the french championship play off (the fourth time for the team the first for TJ)
all the family was here :downspin:
Essaye encore... Nancy participera à la finale du Championnat de France, le 15 juin à Bercy, avec l'ambition de remporter enfin un trophée qui lui a toujours échappé. Le SLUC a obtenu son billet en battant l'ASVEL (104-89) lors de la belle, vendredi à domicile, à l'issue d'un match une nouvelle fois renversant. Au POPB, Ricardo Greer (30 points) et ses coéquipiers affronteront le vainqueur de l'autre match d'appui entre Le Mans et Roanne, samedi dans la Sarthe. Les Lorrains auront forcément un faible pour une victoire du MSB, qui les qualifierait dès ce week-end pour l'Euroligue.
Bien malin pourtant est celui qui aurait pu prévoir, à la vue de la première mi-temps, que Nancy s'imposerait avec une avance aussi vaste. Il a fallu un immence Ricardo Greer, qui n'avait jamais marqué autant de points en Pro A, pour maintenir à flots le SLUC alors que l'ASVEL avait tout rentré ou presque (7/11 à 3 points 12 points de Sangaré) dans le premier quart-temps (32-23). Le véritable réveil des Nancéiens a été initié par TJ Parker. Sous les yeux de la famille (Tony, Eva Longoria, les parents, le petit frère Pierre, joueur d'Aix-Maurienne), l'arrière remplaçant a réussi deux tirs à trois points de suite pour revenir à quatre points avant la mi-temps (44-48, 20e).
«On était un peu à la rue, il fallait les mettre», a concédé TJ sur Sport+, alors que TP reconnaissait qu'en «première mi-temps, ils étaient chauds l'ASVEL.» Au retour des vestiaires, la chaleur était nancéienne, avec un premier passage en tête à la 23e minute (55-53). Les Villeurbannais manquaient d'agressivité (7 lancers tentés au total) et de précision (7 balles perdues en 10 minutes). «Il fallait montrer de la fierté», a expliqué l'aîné des Greer, l'écart montant à +10 (72-62) cinq minutes plus tard. Il semblait alors inéluctable que les Verts n'offriraient pas un match de plus au coach partant Yves Baratet. A +16 à la 34e minute (87-71), la messe était dite et Jean-Luc Monschau pouvait lâcher ses premières larmes. «On ne viendra pas à Bercy que pour jouer. On gagnera, nous sommes une famille», s'est écrié Ricardo Greer. Lui a déjà connu le titre national à Bercy, avec Strasbourg en 2005. Cela suffira-t-il ? X.C.
Tony was tonight in my birth city to see his brother TJ qualify with his team for the finals of the french championship play off (the fourth time for the team the first for TJ)
all the family was here :downspin: